La thèse a montré la place du nouveau marqueur de risque cardiovasculaire, le PCSK9, dans la population et dans la cohorte des hémodialysés chroniques, une sous population où le risque cardiovasculaire résiduel reste très élevé en se focalisant sur les facteurs de risque traditionnels. Enjeu = utilisation des anti-PCSK9 dans des situations d’échec des statines.